Djamolidine Abdoujaparov, sans conteste le meilleur sprinteur du Tour de France dans la première moitié des années 1990.
Le Soviétique devenu Ouzbek a remporté neuf étapes entre 1991 et 1996,
la dernière en s'échappant en montagne, mais toutes les autres en allant le plus vite dans la dernière ligne droite.
Sa régularité lui a permis de ramener trois Maillots Verts à Paris en 1991, 1993 et 1994,
le premier malgré sa chute terrible sur les Champs-Elysées.
Son meilleur classement final est une 56e place obtenue à 31 ans, en 1995.
Sa particularité ? Sprinter en bougeant son vélo mais en gardant le corps droit,
ce qui laissait l'impression qu'il repoussait ses adversaires avec son guidon...
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